
Souvenons nous l’arrogante insolence du p’tit merdeux de l’Elysée ª au soir du premier tour, et nous apercevons son vrai visage, celui d’un véritable p’tit merdeux…
Bref, nous allons connaître une très grave crise financière, bien pire que 2008 et similaire à 1929, dans très peu de temps, dans un horizon de quelques années, et nous n’aurons pas les outils pour la contrer.
Recevez, madame, l’assurance de mes salutations les plus savoureuses et les plus distinguées.