Le logo est le meme… En fait, j’adore ces restes des annees 60/70. C’est cracra a l’interieur mais dans la vie cela cree une certaine chaleur qui manque definitivement aux endroits recents tout en vitre.
Quelques photos prises au hazard… C’est bientot l’hivers et le ciel est de plus en plus souvent bleu, l’air clair presque transparent.
J’allais a Hello work, l’ANPE japonaise. Lui aussi. J’ai aime le « chat ruine ».
Ces chaussures, c’est le mystere de l’hivers. A ces especes de bouts de plastique recycles thermomoule de l’ete succedent ces bout de plastiques recycles d’apparence textile et de style mongole. Une horreur qui envahit les rues. J’ecris recycle: j’espere. C’est ring’ avant meme d’exister. Je ne peux pas imaginer un gay avec ca aux pieds, et pourtant je suis sur qu’il y en a.
C’est la saison des erables rouges. Les parcs sont envahis, on se fait photographier a qui mieux mieux. Ici, le calme parc du palais imperial. Dimanche a Meiji Gyoenmae, c’etait simplement l’horreur. On se serait cru a la fete de l’Huma : boissons, fritures, grillades… des milliers de visiteurs…tout ca pour admirer les feuilles de Ichou/ Ginko jaunes.
Vu la Villa d’Este vers Takadanobaba. J’aime cet envahissement par le vegetal. L’homme conquiert l’espace au Japon avec une radicalite inconnue en France. Pourtant l’espace est tout aussi radicalement reconquis par la nature. Rouille, deformation, distorsion, vegetation sont les ineffacables marques du temps. Jusqu’a ce que l’homme, de nouveau, ne reprenne sa lutte. Peut etre ici, bientot, une tour. Qui sait…
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2 réponses à “Detente en attendant l’hivers”
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