Autre rêve étrange

J’ai fait un (double) rêve étrange… « Je suis avec un mec qui me plait, je crois qu’il a des cheveux bouclés, bruns… »

J’ai fait ce double rêve étrange dans la nuit de mardi à mercredi. Pour tout dire, la nuit dernière aussi, mais il n’a pas laissé la même emprunte. Les rêves traduisent nos états profonds, ils nous emmènent là où on ne veut pas habituellement s’aventurer. Je vous en ai déjà raconté.

Là, je me suis pris par la main, et j’ai (re)visité des lieux connus mais oubliés, du temps de mon enfance. J’y ai vécu quelque chose d’une situation présente. Je me suis aventuré en un lieu d’apparence dangereuse et pourtant, j’y suis allé plein de confiance malgré ce chemin en ruine. Il y avait également quelque chose de sexuel sans réellement l’être, peut-être plus sensuel, une attirance. Des cheveux bruns et bouclés. Moi? Un autre?

J’ai tiré deux cartes au tarots, deux cartes qui m’ont inspiré un mot dont je tente de percer le secret tant il est rempli de sens pour éclairer ce rêve.

Voici donc ce rêve tel que je l’ai transcrit rapidement dans la matinée d’hier.

Je suis avec un mec qui me plait, je crois qu’il a des cheveux bouclés, bruns. J’ai pour lui une très grosse attirance, il me propose d’aller chez lui. Nous nous sommes rencontrés dans la rue, une rue qui pourrait être une rue de mon enfance, non pas pour de vrai, mais dans la familiarité avec le lieu, la sensation.
Nous entrons dans un immeuble, un escalier étroit, en mauvais état, j’ai l’impression qu’il y a eu le feu, je pense que c’est un squat, et puis je pense que c’est peut-être dangereux, mais je le suis. Je ne le vois plus, mais je le suis, je vois ici et là le mur en ruine. Mais je n’ai pas peur. Je me souviens d’une rencontre il y a très longtemps, il habitait dans un squat, et il était très gentil. Je me réveille.
Je regarde l’heure à ma montre, il n’est pas encore l’heure de se lever. Je me rendors.
Je suis dans une pièce assez sombre et à bien y penser, c’est la boutique de mes parents quand j’étais petit. Les volets sont fermés, c’est assez sombre, exactement comme les jours de fermeture à cette époque.
Là, je me souviens en particulier du jour où en voulant aider maman à sortir le landau dans lequel était mon frère j’ai perdu le contrôle et le landau a atterri sur la chaussée. Heureusement, aucune voiture n’est passée à ce moment là. Maman était en colère, m’a accusé de vouloir tuer mon frère… Et moi je disais non, je voulais aider…
Je suis dans cette pièce, donc, il y a la porte face à moi, ouverte. Je sens la présence de maman mais elle n’est pas là. Je dois déballer un meuble, mais il y a beaucoup de plastique, vraiment beaucoup, et finalement j’y arrive, et on me dit que c’est un « meuble vidéo ».
Je regarde. C’est une sorte de truc cheap en bois genre moderne pour cassettes vidéos, et je me demande qui peut vraiment utiliser ça car plus personne n’utilise de cassettes vidéo, et là, je comprends qu’en fait je déballe ce meuble pour Emmanuel Macron qui est juste dans la pièce derrière. En fait, maman n’est pas là.
Deux jeunes hommes entrent. Je connais l’un d’eux, nous étions à l’université ensemble. Il est brun, il a les cheveux un peu bouclés et il me fait penser au mec du premier rêve. C’est un mec d’extrême gauche, comme au temps de la fac. Il me reproche d’être là, mais il n’est pas agressif, je le prends à part et l’emmène près de la porte d’entrée qui devient une sorte de porche d’immeuble, peut-être l’immeuble de toute à l’heure.
Il m’écoute, il est gentil, je lui explique que je fais juste mon travail. Nous sommes proches. Je me réveille. Il est 7 heures moins dix. Normalement, j’en aurais profité pour rester encore un peu au lit, mais là, je me suis levé presqu’automatiquement.
Plus tard, après avoir un peu lu Libération et notamment la liste des « executive orders » (dont certains étaient prévus par le Project 2025 dont plus personne ne parle…), j’écoute un enregistrement récent de Vivaldi.
Je me tire deux cartes au tarot. Le Soleil et L’Estoile. Je pense que ça va. Et je regarde leur nombre, 18 et 17, et je pense « le retour ».

Le « retour ». De quoi, de qui? Le miens? Un autre? Une idée? Une situation? Et ces deux lieux, cette sensation de les connaître, de le connaitre. Ce sentiment de confiance malgré l’inconnu(e)…
Je ne sais pas, mais c’est intéressant que je fasse ce rêve alors que je suis sur deux articles et une sorte de roman, disons, original. Et que je n’attends plus rien de tout cela…

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