Pleasantville est une fable sur la liberté, sur l’amour et sur la profonde humanité de l’imperfection. Une allégorie politique par la couleur, une ode à la liberté, la vraie.
Z’en avez pas marre, de lyncher Houria?
Houria est une camarade, et les membres du PIR sont mes camarades. Tout comme celles et ceux qui ne sont pas d’accord avec le PIR mais qui ne lynchent pas, analysent et respectent, militent. Houria et les membres du PIR pourraient être des amis, ils sont mes sœurs et mes frères, et qui sait, tout comme d’autres. Mais les lyncheurs ne sont ni des camarades, ni des amis. C’est juste des socialistes...
RÉINVENTER LA FRANCE (DEUXIÈME PARTIE)
La description de Paris par Fox New a beaucoup fait rire et Anne Hidalgo menace même de porter plainte, mais il faut quand même les excuser, ils n’ont eu qu’à lire ce qui se dit en France pour croire qu’il y en avait réellement, en France, des No go zone… 1988. The Bangles, Eternal flame. Les années 80 avaient été des années de luttes entre une vision pessimiste, égoïste et guerrière, celle de...