C’est samedi matin. À Tôkyô, le calvaire est terminé. Plus au nord du Japon, ça continue. Je suis dans le métro, je suis fatigué par l’interminable randonnée d’hier soir, et je crois que je n’ai pas encore eu le temps de réaliser. Je crois que c’est comme ça après chaque grand choc.Comme tous les vendredis, je me suis levé plus tard que d’habitude car je pars...
12 mars 2011
Mon premier vrai tremblement de terre
12mars