Et Tôkyô again

Voilà pour ce dimanche pour lequel j’avais prévu de joindre cette photo d’un des monts environnants Kyôto.

On est mardi matin, je suis dans le métro, je manque à toutes mes obligations, je n’ai rien posté ni dimanche ni lundi, vraiment… En fait, la page de rédaction avec la photo et les catégories etc était prête depuis dimanche soir, je l’avais préparée après être rentré. Mais j’ai finalement été très occupé dimanche soir.

D’abord, il m’a fallu faire de la lessive, beaucoup de lessive. Une semaine de congés à Kyôto, c’est long et ça fait beaucoup de linge. Et puis j’ai du faire les courses, frigo vide. Et enfin il y avait ma préparation pour ma leçon de lundi matin bref, non, vraiment pas de temps.

Dimanche, c’était donc le dernier jour à Kyôto. Le temps y a été ce dimanche maussade comme pendant tout notre séjour. Tô-ji d’abord où la pagode était ouverte au public pour une semaine. Et puis Kennin-ji ensuite. Et au retour à l’hôtel un arrêt à une pâtisserie française dans Gion.

Galette des Roi.

L’Épiphanie, c’est quand même une jolie fête religieuse dont j’aime le message, j’aime l’idée de ces Rois de trois différentes civilisations suivant une étoile dans le ciel pour venir s’incliner devant leur Roi, un enfant né dans une étable. Et puis hein, ce gâteau… Je sais qu’il y en a de toutes sortes, mais pour moi, ça reste la galette à la frangipane, entre un goût de l’enfance et le délice moelleux et gourmand de la crème d’amande, et puis le souvenir de mon oncle Gaston, le boulanger, et voir le feuilletage dans le four qui monte, qui monte, qui monte…

On l’a mangée dans le Shinkansen du retour.

Je suis arrivé chez moi vers 20 heures trente alors vous imaginez bien qu’écrire était un exercice difficile. J’ai juste préparé la photographie et la catégorie ainsi que le titre.

Voilà pour ce dimanche pour lequel j’avais prévu de joindre cette photo d’un des monts environnants Kyôto. C’est fait.

Je vais essayer de revenir à l’origine même de ce site, à savoir le journal, des petites notes honnêtes et variées, du quotidien avec tout ce qui me passe par la tête, les lectures, la musique et la politique. Une polyphonie de moi.

Tiens, j’écris ça, peut être le moment de réessayer de lire La mise à mort, d’Aragon. Peut être désormais cette boule dans le ventre aura disparu…


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