Crêperie Le Bretagne dans mon quartier hier soir. Jun a 28 ans. Les crèpes était délicieuses : bretonne (épaule fumée grillée, oeufs, crème, beurre, fromage…); puis confiture de rhubarbe et glace vanille (moi)/ compote de pomme et glace cannelle (lui), le tout arrosé d’un pichet de cidre absoluement délicieux, brut, pas trop sucré ni transparent…
Sale temps, comme il fallait s’y attendre : je suis en congé ! Ce matin, c’était même encore mieux que ça : pluie à verse, à torrent ! Ce qui il y a deux semaines m’aurait mis le moral à zéro m’a finalement laissé de marbre. J’en ai profité pour envoyer un long mail à mon frère. J’ai hier d’ailleurs inauguré l’exercice avec mon ami Alain. Je n’ai guère pris le temps jusque cette semaine d’écrire des mails à mes amis. Tout au plus des mails groupés, mais aucun à chacun d’eux individuellement, hormis peut être Nicolas, mais Nicolas et moi en avons depuis longtemps pris l’habitude grace à i-mode que nous utilisions pour être en contact dans notre vie de tous les jours. Mais j’ai la chance d’avoir des amis qui ne sont pas de geeks, à croc aux nouvelles technologies et qui vous encerclent de mails… Ouf ! Cela étant, je ressens le besoin maintenant de leur écrire, ce que j’ai donc commencé à faire. C’est bien pour faire le point. C’est aussi pour cela que je nourris ce blog un peu plus assiduement.
on dirait pas le Japon, hein… Si l’envie vous prend de manger une bonne crèpe à Tôkyô, passez donc par le restaurant Le Bretagne, à Iidabashi/飯田橋 ou Omotesandô/表参道… Et leurs cidres sont délicieux…
Compter (une galette sarazin salée, une galette sucrée, un demi pichet de cidre, un café) environ 4,000 yen par personne (EUR 30). Menu à 3,600 yen, sans le cidre (avec salade et café).
Bon, cela étant, ici, le sale temps ne m’invite guère à sortir et j’avoue ne pas avoir grand chose à raconter. J’ai invité Jun au restaurant hier soir, pour ses 28 ans. Faut que je me mettes à faire des crèpes, c’est trop bon et je suis expert, en la matière ! J’adore ça, en plus. Il a reçu un appel de sa soeur, pour son anniversaire. Nous sommes passés à la maison, ensuite et je lui montré des photos : c’est que j’ai tout rentré dans i-Photo hier (le sale temps, ça sert aussi à ça), avec priorité de modification dans Photoshop CS. En matière de stockage, i-Photo est vraiment un truc très pratique, bien pensé et les fonctions de retouche ont un gros avantage : elles ne sont pas permanentes car les originaux ne sont pas modifiés et on peut toujours les rappeler. J’ai encore quelques CD à y insérer, et après je vous fait de nouveaux albums qui remplaceront les albums actuels. Je vous prépare également une refonte de mon site, celui-ci sera dorénavant centré autours de mon blog puisque ce blog est la partie la plus fréquemment actualisée.
Pas de télé hier, juste cette soirée tranquille avant que je ne raccompagne Jun à la gare de Iidabashi/飯田橋 qu’il rentre chez lui. Il travaille le jeudi, lui… Je suis rentré, et j’ai encore un peu travaillé, commencé à sélectionner des photos. Le travail sera long et difficile, je ne veux plus de ce « catalogue », mais juste quelques belles photos, ou alors des choses qui ont retenu mon attention… comme la rouille, si présente au Japon. Avec toute cette pluie…
machine à laver japonaise. Chargement au dessus, mais pas de tambour à axe horizontal : ici, l’axe est vertical, comme sur les Calorettes des années 70… L’eau n’est pas chaude, elle est froide, toujours froide. Les lessives sont adaptées. On m’a expliqué que nous lavons à l’eau chaude à cause du calcaire, et qu’ici, par conséquent, il n’y en aurait pas besoins…
Aujourd’hui j’ai flemardé, siesté. J’aère mon futon, il est près de 17 heures, et je m’apprête à aller chercher mon linge à la laverie.
Ah, oui, tiens… J’ai longtemps trouvé que le linge blanc grisait, dans les machines japonaises. Eh bien non. Non seulement elles laves aussi bien que les « nôtres » à 90° en lavant à l’eau froide, mais en plus, si on sépare bien le blanc de la couleur, le blanc ressort bien blanc… J’émets juste une réserve sur le lavage avec axe verticale : ça noue le linge et ça le froisse plus qu’avec nos machines à tambour horizontal. Mais pour ce qui est du lavage, je révise ce que j’ai écrit ici ou là à ce sujet !
Bon, allez ! C’est l’heure, 時間だぜ!
De Tôkyô, rompu aux tâches ménagères,
Suppaiku
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