Comment vas-tu?
C’est avec un immense regret et un réel sentiment de sympathie que je t’écris, sachant la peine et l’insondable affliction dans laquelle te voilà plongé.
S’il ne plait, ne te cache pas, ne rase pas les murs, ne te cloître pas dans l’obscurité de ta chambre aux volets tirés, les miroirs voilés.
Car la bonne nouvelle est que sans même que tu ne t’en aperçoives, ça passera.
Bientôt, tes cinquante ans partiront, telle une fumée légère et joyeuse, pour être remplacés par ces gaillards cinquante-et-un, avant que n’arrivent leurs amis, les cinquante deux…
Alors profite de cette journée et pour te venger de tes cinquante ans, tords-leurs le cou en te souvenant que cinquante ans, c’est le début de la cinquante-et-unième année, he he he
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