On sent l’ete arriver, berce par cette chaleur particuliere du peuple de ces faubourgs de Tokyo, a la gouaille qui n’a rien a envier a celle des parigots…
Annule l’an dernier pour cause de tremblement de terre, le matsuri de l’arrondissement de Taito etait tres attendu. Helas, la encore, le temps etait capricieux, frais a partir de trois heures. Il n’empeche que dans ces rues toutes verdies, bordees de plantes et de fleurs, dans ce quartier pas riche mais qui se fait plus pimpant que les quartiers bourgeois de la capitale, on sent l’ete arriver, berce par cette chaleur particuliere du peuple de ces faubourgs de Tokyo, a la gouaille qui n’a rien a envier a celle des parigots, ces habitants de Tokyo que l’on nomme Edokko, les enfants d’edo…