…le résultat est que simplement regarder le blog provoque un plaisir des yeux, une richesse de contrastes et de formes…
Malgré bien des défauts et un manque évident de souplesse, le modèle que j’utilise aujourd’hui, AutoFocus, possède des qualités que je ne trouvais pas dans Angular, celui que j’ai utilisé depuis le début de l’année. J’y retourne donc, bien décidé cette fois à en tirer toutes les possibilités.
Sa première qualité est l’incroyable mise en valeur des photographies. C’est indéniable quand il s’agit d’un simple blog, c’est flagrant quand il s’agit d’une galerie.
Il en découle une seconde qualité : malgré son incroyable simplicité, ce modèle possède une réelle charge graphique. Tout s’y découpe de façon nette sans aucun artifice, et le noir et blanc des photographies explose littéralement sur l’écran, ce qui n’est pas le cas avec Angular.
Sa troisième qualité, enfin, répond en écho à son principal défaut. Il est incroyablement simple, peut être trop, mais cela lui donne l’incroyable avantage de me focaliser sur le texte écrit et non chercher à tout pris « la » photographie obligatoire qui illustrera la première page ainsi que la façon particulière de l’insérer qui caractérise Angular et la ligne d’extrait ainsi que la majuscule renforcée. Vous me direz que tout cela n’était pas obligatoire non plus avec Angular, et c’est vrai. Mais à quoi cela sert il d’avoir un outil complexe si c’est pour se limiter à des fonctions de base. J’ai essayé, pour voir, et soudain Angular devient un modèle incroyablement fade, avec des photos de taille réduite sur lesquelles le visiteur doit cliquer pour y voir quelque chose. Rien de cela avec AutoFocus, la photographie est grande à la base et n’offre en contrepartie aucune fonction d’agrandissement sauf dans le cas où celle ci est insérée dans une galerie. Et le résultat est que simplement regarder le blog provoque un plaisir des yeux, une richesse de contrastes et de formes que je n’ai jamais trouvées avec Angular.
Retour à Autofocus, donc.
De plus en plus frais tous les jours. Constaté ce matin en regardant les information que la fosse béante appelé déficit et les abysses insondables appelées dette publique commencent à faire parler d’elles sous le visage stupéfait des invités sur le plateau. S’ils savaient que ce seront leurs économies qui partiront partiellement en fumée le jour où il n’y aura pas d’autre solution de faire défaut.
Beaucoup de travail chaque jour à l’école mais c’est aujourd’hui mon jour calme. Je savoure et je peux revenir ici.
Devant mon ordinateur maintenant, après trois heures passées à corriger et arranger le modèle de ce site. Beaucoup de travail encore, mais ça me plait bien…
A demain.
De Tokyo,
Madjid