Une épidémie, c’est politique. Les riches se font tester à prix d’or, s’achètent des respirateurs, recrutent des docteurs et des infirmières, ont déjà acheté des résidences loin de la plèbe.
Les autres goûtent les joies des salles d’attente bondées aux murs délavés, au guichet imitation bois et aux sièges en plastique où il n’y a ni tests disponibles, ni suffisamment de personnel soignants, ni suffisamment de masques et où il n’y a déjà plus de respirateurs disponibles.
Quand aux pays du sud, alors là…
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