
Il fait fatigue : depuis quelques jours, la montée des températures, jusque dans la nuit (autours de 23/24°) et de l’humidité ambiante épuisent les réserves d’énergie. Si on y ajoute le cas particulier NOVA, les impôts locaux, on arrive à une fatigue réelle, une forme de démotivation que la grisaille et la pluie augmentent encore. Je ne suis pas seul comme cela, nous sommes nombreux ainsi à l’école, jusqu’à une collègue qui vient de décider de nous quitter. On est pas bien. Ah, si seulement c’était le printemps…
Hier, ainsi, je me suis levé à 11 heures, ramolli par une nuit alternant sommeil et réveil : il faisait chaud et, de plus, ces derniers temps j’ai repris la mauvaise habitude de regarder des vidéos la nuit… Pas bien…
Dehors, le spectacle des parapluies à repris. Si à Ginza les parapluies sont emberlicotés de rubans et dentelles, le parapluie “populaire” est un parapluie en plastique, tranparent de préférence et acheté entre 105 et 500 yens. On le sort parfois même en l’absence de pluie “au cas où”, car le temps change vite. Le plus surprenant est qu’on le garde également en faisant du vélo. J’aime bien. J’ai l’impression de me plonger dans une coutume ancestrale du Japon : on apperçoit déjà cela sur d’anciennes gravures; le Japon est définitivement un pays de pluie.
Je suis rentré à 21 heures 50, flemme de faire à manger : j’ai acheté un 弁当. A la maison, j’ai regardé le spécial de Liar game. Il fait lourd.
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