J’ai rêvé il y a 3 semaines qu’un cheval et un poulain sortaient de chez un voisin. Ils étaient escorté de 2 enfants / enfants de coeurs /anges vêtus de blanc. Ils traversaient la cour, les voisins étaient là, avec leur fille. Mais ce qui retenait mon attention était d’abord les chevaux puis les 2 anges. Je quittais la maison, faisais le tour du quartier pour revoir mais alors l’évènement était passé.
Ce matin, c’était visite médicale. Un doublement de ma charge virale… pas marrant, quoi. J’avais bien senti qu’il se passait quelque chose, mais à ce point là… J’ai presque envie de dire que je m’attends au pire : nous avons décidé d’un nouvel examen dans une semaine, d’un autre rendez vous dans 3 semaines. Voilà.
C’est chiant.
Très chiant.
J’ai rêvé il y a 3 semaines qu’un cheval et un poulain sortaient de chez un voisin. Ils étaient escorté de 2 enfants / enfants de coeurs /anges vêtus de blanc. Ils traversaient la cour, les voisins étaient là, avec leur fille. Mais ce qui retenait mon attention était d’abord les chevaux puis les 2 anges. Je quittais la maison, faisais le tour du quartier pour revoir mais alors l’évènement était passé.
Rêver de cheval est au Japon un très mauvais présage… J’ai bien espéré que le Kami qui se nourri des rêves le mange mais…¨Placé devant mes résultats, je m’interroge sur ces 2 « anges » dont la présence était comme rassurante, j’y voyais presque comme un sacre, une consécration. Ce matin, alors que je parlais à Nicolas au téléphone, à proximité de la bouche du métro, peu de temps après ma consultation, j’apperçu un arc en ciel. Les arcs en ciel sont le signe des promesses tenues, et je repense à « ma bonne étoile », et je repense à ces 2 anges.
Bien sûr qu’il faudra bien que je me soigne. C’est évident. Mais s’il est un kami confident, disons きつね / Kitsune le renard, eh bien je lui demanderais bien 2 mois de tranquilité. J’espère que l’arc en ciel, c’était un kami du ciel qui me comprenait et me faisais signe que je n’avais pas à m’inquiéter.
Je n’ai pas peur d’être malade. Il y a juste que j’aimerais partir au Japon « les mains dans les poches ».
Il est temps de refaire une teinture : j’ai de plus en plus de cheveux blancs.
Ou alors les couper, je ne sais plus trop bien ce que je veux.
Ah, si, lire. Comme je recommence à le faire.
Bon, un peu plus sympathique, l’arrivée à Paris de Shogo, un jeunes garçon avec qui j’ai un peu correspondu sur le net. Il vient ici étudier.
Mais comment, aujourd’hui, cela peut il me réjouir ?
Je suis flagada, abattu. J’ai mal dormi cette nuit, je ne sais rop si c’est le virus qui prolifère encore ou si c’est moi qui m’angoisse.
Kyôto me semble très très loin, soudain…