Vent fort mais douceur, grand soleil, je reste pourtant a la maison. C’est pas bien amusant, mon petit orteil casse, d’autant qu’il est certainement deja bien cicatrise. Il est fermement maintenu mais comme je n’ai pas mal, je m’autorise des fois de longues marges et une petite douleur parfois me le rappelle a moi bref, j’ai un peu peur d’abuser et de me refaire du mal. J’attends egalement des nouvelles concernant le travail. Je dois desormais demarrer la semaine prochaine, lundi ou mardi et par consequent signer mon contrat demain soir. Je suis desormais rassure car mon contrat est bien valide par le head des ressources humaines (je commencais a avoir peur), mais en revanche c’est du cote du manager de l’equipe que se trouve le retard. La, ca ne m’inquiete plus. Avec les evenements actuels, ils doivent avoir la tete dans le guidon. Je vous avoue juste que j’aimerai bien recommencer a travailler, la, maintenant. Se promener sans argent et forcement a velo si je veux me promener longuement, j’y arrive certes, mais j’ai un peu le sentiment de me forcer a le faire. Je lis Balzac pour m’occuper, je viens de finir La fausse maitresse. J’ai commence ce matin a regarder La faute a Voltaire, mais le coeur n’y etait pas. On verra ce soir.
Vous inquietez pas pour moi, j’ai le moral. J’ai juste besoin du coup de fouet du travail. Le sejour a Kyoto avait ete fort vivifiant, mais le coup du petit doigt, ca a casse l’elan, et me voila bien ramoli. Quand je pense qu’on est deja presqu’en fevrier, comme me le rappellent les stand Saint-Valentin dans les supermarches… Allez, je vous laisse, je retourne a Balzac.
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