Absence, passe temps (cliquez sur l’absence)

Une vraie bonne nouvelle, et une première : LES AVENTURES DE BARZADOR SONT DÉSORMAIS EN COULEUR !!!
Non, je vais pas vous le faire triste… voyons, je ne me permettrais pas. On a beau être sous la pluie aussi, ici, et j’ai beau devoir aller chercher mon vélo surpris pas une averse hier soir du côté de Shinjuku, je suis quand même à Tôkyô, et puis en plus je n’ai pas passé la nuit tout seul, mais avec une rencontre de hazard qui passait par là… Mais bon, hein, Camille a eu beau chanter le mois de septembre, février n’est pas mal non plus, pour les coeurs esseulés. BOOOOOOOUUUUUUUUUUUUUHHHHHHHH…. Ce qui est le plus drôle dans cette rencontre de hazard au demeurant très agréable, c’est qu’il fasse le même métier et qu’il ait à un an près le même âge que l’aiguille de ma botte de foin. Mais alors un goût musical qui frôle la demande de divorce avant même de se marier. Un gentil garçon qui voulait se faire un gaijin, quoi, et travailler son anglais par la même occasion. Ca tombait bien, j’avais justement envie de me faire un mec et de travailler le japonais (surtout, éviter cette faute courante qui conciste à mettre des majuscules partout… ici, cela créerait un sens qui n’est pas du tout dans mes intentions…). J’ai ainsi pu causer pendant des heures avec ce garçon dont Maruchan aurait dit qu’il s’agissait d’un bouseux : eh ouais, il y a aussi des gays dans Saitama-ken !

Promenade dans la Shitamachi, hier, vers Asakusa-bashi, ici, la Sumida-gawa
Je continue d’avoir quelques contacts suite au dépôt de mon profil sur un site gay. Marrant ! J’ai également commencé à poster mon blog en japonais sur un site appelé MIXI et sur lequel on est invité par d’autres membres… Vous le voyez, je mets tous les atouts de mon côté pour causer et écrire. Faut dire aussi que j’ai le temps puisque je suis encore en vacance. Demain soir, je devrais en rencontrer un. Mais je vous avoue qu’il y en a un qui est pas mal dans le lot, peut être deux. Le mieux a la trentaine jeune, extrèmement beau, j’ai franchement le sentiment de viser trop haut, donc, je continue ma correspondance avec lui. Il est coiffeur, mais dans le genre haut de gamme… Pour ceux qui ne sont pas encore au courant, je fantasme sur les coiffeurs et pour être plus exact, j’ai toujours ressenti une sensation très proche de celle que ressent Jean Rochefort dans Le mari de la coiffeuse, de Patrice Lecomte. Bref, comme il est très beau, et malgré le fait qu’il ait l’air encore plus PD qu’un type qui n’a jamais quitté le Village à New York de sa vie et a passé tout son temps entre les clubs de gym, les clubs et les voyages internationaux, je m’en tape, je le trouve craquant et je corresponds. Je trouve ça rigolo.

Le hazard ! Voici Jean Baptiste avec qui j’ai suivi des cours à l’INALCO il y a deux ans, et qui m’a contacté car il avait trouvé ma trace grace à ce blog… marrant, non ? Nous nous sommes donné rendez vous vers Ueno et avons passé un bon après midi, de cafés en sushis, dévocation de carte American Express en keitai plus ou moins « gaijin » (Vodafone) ou « jeune » (AU)… mon tel est AU !!! 

Benjamin est le coloc de Jean Baptiste. Aventure un peu différente, mais beau tandem de copains qui s’aventurent sans hésiter dans Tôkyô, dans « tout » Tôkyô. C’est hétéro mais de très bonne facture également et ne peux que les encourager à écrire un blog, si possible en duo car ils « fonctionnent » bien tous les deux. Salut les amis !

Je continue mes séries de photographies « urbaines ». Cette ville est fascinante…

Fin de journée hier soir, le bar gay « Advocates Bar », en 2ème sous-sol… Faut pas voir peur des tremblements de terre ni des américains qui tirent une gueule de 4 mètre de long dans ce genre de bar !

De Tôkyô sous la pluie,
Suppaiku


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