Avec le décès de Rachid Taha, ce sont deux artistes majeurs qui disparaissent à quelques jours d’intervalle et endeuillent la culture algérienne.
Le chanteur Djamel Allam, né à Bejaia le 26 juillet 1947 vient de s’éteindre à la suite d’une longue maladie à l’âge de 71 ans.
Il restera l’un des principaux représentant du renouveau de la musique kabyle, aux côté de Ait Menguellet, de Matoub Lounès, de Ferhat et de Idir, tout en se distinguant par un encrage précoce, dès les années 70, dans les milieux de l’immigration ainsi que par ses engagements politiques en France comme en Algérie, fête de l’Humanité, meetings de soutiens, que sa carrière variée, non seulement en tant que chanteur et compositeur, mais également en tant qu’acteur et compositeur de musiques de films, voire même pour la télévision.
Avec le décès de Rachid Taha, ce sont deux artistes majeurs qui disparaissent à quelques jours d’intervalle et endeuillent la culture algérienne.
Allah Y Rahmou
https://www.youtube.com/watch?v=Eu63aZ3hH64